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Forum » Literatur, Kunst & Philosophie » ThreadLa folie de l'amour
05.05.2009 02:09
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0 La Folie de l’amour T’as des beaux yeux Semblable aux dieux Chérie Font des amants en série Autant que moi Ils s’éprennent de toi À tort Mais si fort Zut alors ! J’en ai ras le bol De sentir comme une folle Ta sourire angélique A fait ma vie magnifique J’aimerais bien t’embrasser On en rigole déjà assez Comme ca Ha ha – ha Suffit maintenant ! Tant ... Que je crie Comme si Mon coeur est pris Par des non-voyants Qui se mêlent dedans Je n’y peux rien Viens S’il te plaît Je te laisserai Monter dans ma voiture Jusqu’au pays des aventures Galantes Comme ça te chante À ta place correspondante Chez moi Alors, quoi ? J’ai la tête fêlée, je le sais Mais j’ai peur du jamais C’est à n’y pas tenir Penser à l’avenir Incertain Être en train D’envier que tu seras là Voudrais – mais tu n’es pas Avec moi Mais je crois Qu’une fois Pour concilier Tu ne pourras plus m’oublier Bah, je raconte des salades ... Qu’est-ce que j’ai fait ? Je ne voulais jamais Ce beau gâchis Compris ? Donc, ce n’est pas possible Que ce besoin irrésistible Soit enfermé dehors De mort Et alors ? Ce n’est pas ton affaire ! C’est pas nécessaire ! Fiche-moi la paix ! Puisque tu sais Me faire plaisir Fais me souffrir En silence Déterminant la fréquence Cardiaque Claque ! La flaque D’eau de mes larmes Seul support de charme Mais tu ne m’aimes pas ... Et quand la nuit tombe Je succombe Sous mes cauchemars Sans crier gare On éteint Le dernier peu saint D’éspoir Obligatoire Pour choir Et dormir tranquille En rêvant de cette fille J’étais dans la lune Sans aucune Pensée aux soucis J’ai jouis De ta tendresse affectionnée Du frémissement passionné Je craque Pour ton attaque Cardiaque Impossible dans ma vie En dehors du fantaisie Si tu m’aimes, dis oui Et je t’aimerais toute ma vie Journée significative En effet multiplicative C’était le 19 mai en 2003 Je crois Qu’une flèche du dieu M’a poussée dans ce cercle vicieux Pas souhaitable Au diable Mais je suis incapable De lutter contre cette – Conspiration chouette Chapeau ! En étant dans le pétrain J’essaie d’oublier le chagrin En mangeant En étant outrageant Ou en me bourrant la gueule En me coupant – toute seule Je pleure D’humeur Et en ayant peur De mes coups de désespoir Tout noirs Vois-tu ? Je suis perdue Bah, c’est bien connu Mais je ne sais plus Si je vis Ou si je suis Contre nature La seule chose pure Dont je suis absolument sûre Est cas d’extrême: Je t’aime Je t’en prie, aime-moi Je ferai tout pour toi Je t’aime à mourir Sans pouvoir dire Pourquoi C’est moi Qui ne réussis pas À résister à la Force d’attractive Si vive Alors j’arrive À l’amour Pèsant lourd À moi, il arrive parfois Que je m’en reste coi De ton look d’enfer Mais tu ne sais rien du malheur Que tu portais à mon coeur Mais la vérité bien sentie Explique que j’ai toujours menti En disant que tout va bien En vrai il n’y a rien Attention ! Une action Faisant illusion Seulement pour ne pas t’inquiéter Durant l’été Tout le temps je rigolais Mais personne ne le comprenait En simulant d’être heureuse J’ai caché l’affiche lumineuse Qui parle des larmes Criant d’alarme Comme la jour précedente De manière innocente J’ai vu trente Six chandelles Semblant réelles Mince, à nouveau J’ai fait des châteaux En Espagne Alors, Au voleuse ! Dont je suis amoureuse Sans rétablissement Dès l’envahissement Mon âme s’est fermé À clé Il perd conscience Par excellence Alors je commence À reconquérir Ce que tu attire Tu me coupe la respiration ... Mais, même si tu t’en vas Cela s’arrangera Peut-être Que je vais connaître Une fille Gentille Qui m’aime Tout de même Sans problèmes Mais les cicatrices vont rester Pour me compléter Tapé dans le tas Parce que tu ne m’aimes pas Même pas parfois Je ne pense qu’à toi Tu es la seule Dont je suis veule À jamais Je sais Que c’est La folie de l’amour À mon tour ... © melli
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